Le gouvernement démissionnaire semble découvrir l’ampleur des dégâts qu’il a lui-même causés… Les accusations portées par son ministre de l’économie et des finances à l’égard des collectivités territoriales est d’un cynisme absolu.
Faute d’avoir obtenu de l’Etat les réponses à leurs questions et à leurs propositions, les agriculteurs de Lot-et-Garonne ont décidé de quitter leur ferme pour crier leur colère dans la rue depuis lundi.
A l’aube de cette nouvelle année, mes pensées vont d’abord à toutes celles et tous ceux qui sont frappés par les épreuves de la vie. A chacune et chacun, je souhaite que 2024 soit synonyme de jours meilleurs.
Le territoire que nous aimons, notre Lot-et-Garonne, à l’image de la France, a toujours été une terre d’accueil et d’intégration, une terre d’asile même en des heures sombres de l’Histoire européenne.
Comme chaque année, le Conseil Économique Social et Environnemental (CESE) vient de publier son rapport sur l’état de la France.
Demain, samedi 25 novembre, se tiendra la Journée nationale de lutte contre les violences faites aux femmes.
Le 9 novembre prochain aura lieu la Journée nationale de lutte contre le harcèlement.
Le maire de Saint-Brévin est un homme juste et courageux. Il a fait tout ce qui était en son pouvoir mais il ne peut pas tout. Yannick Morez et sa famille étaient menacés par l’extrême-droite pour son action en faveur de l’accueil de réfugiés et le projet du transfert d’un centre d’accueil pour demandeurs d’asile dans sa commune.
Ce dimanche 30 avril 2023, journée nationale du souvenir des victimes de la déportation, nous honorons la mémoire de toutes et tous les déportés. En cette journée du souvenir, rappelons-nous la blessure profonde qui marque nos terres.
Il y a un peu plus d’un an, le Conseil Départemental accueillait un colloque sur le thème « Ressource en eau et territoires : construisons ensemble notre avenir », organisé par le GIE Thematik’. J’ai eu le plaisir d’ouvrir ce matin une nouvelle rencontre, pensée comme un prolongement des précédents échanges, sur le thème de la souveraineté alimentaire et de la gestion de l’eau en agriculture.
En cette fin de journée du 28 mars, un sentiment étrange mais bien réel m’étreint, entre colère et tristesse. Le sentiment que les valeurs inscrites au fronton de nos mairies peuvent être impunément salies, piétinées. Liberté, Egalité, Fraternité. Le socle de notre vivre-ensemble vacille. Ce n’est pas nouveau me direz-vous. Mais ce qui s’est passé aujourd’hui sur notre beau département m’est insupportable. Qu’une élue de la République, responsable d’un parti politique, puisse être ainsi menacée et insultée, dépasse l’entendement.
L’acte II de la colère agricole qui s’exprime aujourd’hui en dit long sur l’impasse dans laquelle nous sommes au plan national et européen. 10 mois après les premières mobilisations, nous voici revenus au point de départ ou presque…