Qui veut tuer son chien l’accuse de la rage ? En tout état de cause, accusées par le gouvernement d’être en grande partie responsables du “dérapage des finances publiques” lors des débats budgétaires amorcés à l’automne dernier, les collectivités locales semblent bien avoir été victimes d’allégations pour le moins hasardeuses.

A la suite des réunions publiques que nous avons tenues sur l’ensemble du territoire au cours des dernières semaines, le Conseil départemental s’est réuni le 21 mars en assemblée plénière pour une session consacrée au Budget primitif 2025.

La Journée internationale des droits des femmes est l’occasion de rappeler l’engagement quotidien du Département de Lot-et-Garonne en faveur de l’égalité entre les femmes et les hommes.

Cette grande cause départementale se traduit des initiatives multiples tout au long de l’année. En effet, c’est chaque jour de l’année que nous devons protéger, éduquer, transmettre et sensibiliser.

Le Département de Lot-et-Garonne voit son budget amputé de 52 millions d’euros, soit 10% de son budget annuel, par l’Etat.

Face à cette situation inédite dans toute l’histoire de la collectivité, nous devons tous être mobilisés dans cette tempête et préparer l’avenir.

Depuis près de 20 ans, toujours en quête d’améliorer la qualité de service et d’équité de traitement des usagers, la MDPH 47 reste à l'écoute de ses usagers et continue de travailler à l'amélioration de ses services pour répondre au mieux aux attentes de chacun.

Cette conviction est celle que nous partageons pour construire un avenir inclusif et solidaire, ensemble.

Après plusieurs mois de turbulences sur fond de débats budgétaires, le Premier ministre a finalement déclenché l’article 49.3, débouchant sur l’adoption du projet de loi des finances 2025 par l’Assemblée nationale.

Si des avancées ont été obtenues, notamment par les Départements – à la force de la mobilisation de l’Assemblée des Départements de France à laquelle j’ai pleinement pris part, ceux-ci sont toujours appelés malgré tout à supporter près de la moitié de l’effort demandé par le gouvernement aux territoires.

Il y a 80 ans, le camp d’extermination d’Auschwitz-Birkenau était libéré. 

80 ans après, nous devons commémorer et, plus encore, nous remémorer.

Devant l’innommable, devant l'inconcevable, devant l'abominable... nous portons toutes et tous cette responsabilité collective de nous remémorer.

« Vendredi 24 janvier a eu lieu la séquence des vœux communs à la Préfecture et au Conseil départemental. Monsieur le Préfet et moi-même avons tenu à maintenir cette tradition républicaine.

Au cours de cette cérémonie, j’ai redit ma certitude qui anime l’action du Département en direction des Lot-et-Garonnais :  l’essentiel, c’est vous »

« En cette nouvelle année, mes pensées accompagnent tous les Lot-et-Garonnais, en formant le vœu que chacune et chacun trouve sur notre territoire les conditions de son épanouissement mais aussi les moyens de surmonter les difficultés que la vie nous réserve parfois. »

« Le procès de la lâcheté », les mots de Gisèle Pélicot résonnent infiniment alors que s’ouvre aujourd’hui le réquisitoire du procès des viols de Mazan. "L'enjeu est de changer fondamentalement les rapports entre hommes et femmes", a d’ailleurs affirmé le ministère public en ouvrant son réquisitoire ce 25 novembre, Journée internationale de l’élimination de la violence faite aux femmes. 

L’acte II de la colère agricole qui s’exprime aujourd’hui en dit long sur l’impasse dans laquelle nous sommes au plan national et européen. 10 mois après les premières mobilisations, nous voici revenus au point de départ ou presque…

Ce jeudi 7 novembre marque la 9^ème édition de la Journée nationale consacrée à la lutte contre le harcèlement scolaire. Une journée pour affirmer l’indispensable intransigeance dont nous devons faire preuve face à ce fléau. Car s’il prend de l’ampleur, c’est que notre société est de plus en plus violente et que les canaux de diffusion de cette violence sont de plus en plus nombreux.

Aujourd'hui, je m’adresse à vous dans un contexte national d'une gravité sans précédent. La colère m'anime face aux décisions gouvernementales qui menacent nos territoires. Le Projet de Loi de Finances (PLF) prévoit une ponction de 16 millions d'euros sur le budget du Département de Lot-et-Garonne pour, dit-on, redresser des comptes publics de la Nation déficitaires de 3300 milliards d’euros !

Monsieur le Premier ministre, je vous propose de prendre le temps de l’écoute.

“Ne nous racontons pas d’histoires”, avez-vous déclaré en préambule de votre discours de politique générale. Permettez-moi de vous prendre au mot. Ne nous racontons pas d’histoire sur la situation des collectivités territoriales, dont celle des conseils départementaux.

L’opération « Octobre rose » veut sensibiliser au dépistage du cancer du sein. C’est une cause qui nous concerne tous.

Prendre soin des autres se fait à chaque étape de la vie, à tous les âges de la vie. Prévenir, guérir, soulager, accompagner : c’est le rôle du Département que je préside.

Le gouvernement démissionnaire semble découvrir l’ampleur des dégâts qu’il a lui-même causés… Les accusations portées par son ministre de l’économie et des finances à l’égard des collectivités territoriales est d’un cynisme absolu.

Ça y est, l’heure du retour en classe a sonné pour nos 12 300 collégien·ne·s lot-et-garonnais. Cette année, plus que jamais, nos enfants ont besoin d’être accompagnés et rassurés, préservés du contexte anxiogène qui marque cette rentrée. 

Cette saison estivale 2024 marque sans aucun doute un tournant dans la stratégie d’attractivité que nous menons depuis plusieurs années. Téléspectateurs, festivaliers, touristes…